Accueil

LinkedInWhatsAppFacebookX

Bienvenue sur Ervael.com !

Ervael

Ayant pour pseudo Ervael sur la toile, voici le site dédié à mes activités, avec la fois mon CV et mes réalisations, mais aussi le blog dans lequel je partage mes connaissances, mes expériences et mes réflexions.

Derniers articles

01/06/2025Quand on parle de WordPress, de SEO et d’extension, deux noms viennent généralement : YOAST SEO et Rank Math SEO. Les deux extensions sont populaires et très souvent comparées. Voici donc mon comparatif teinté de mon expérience avec les deux dans leurs versions gratuites, avec un focus en particulier sur les indicateurs des pages de contenu.Le comparatifYOAST SEOAvec plus de 10 millions d’installations actives et une note de 4.8/5 (plus de 26 000 avis), YOAST est une si ce n’est l’extension SEO la plus utilisée. Outre son ancienneté, elle se démarque aussi par sa simplicité d’utilisation.Au menu on retrouve toutes les fonctionnalités de base avec l’édition de la meta title, de la meta description, fil d’ariane optimisé, sitemap, shema.org (données structurées), aperçu des partages Facebook et Twitter, liens avec les outils webmasters comme la Search Console de Google.Du côté des pages de contenu, YOAST donne deux indicateurs : le score SEO et la lisibilité. Les scores sont des évaluations qui indiquent de manière globale si cela est bon, ok, ou mauvais. A partir du mot-clé (un seul en version gratuite) choisi, le score SEO va indiquer toutes les améliorations possibles dans son référencement : ratio du nombre d’utilisation du mot clé par rapport au nombre de mots, mot clé dans le titre, sous-titres, balises title, meta description, alt des images, apparition en début de page, liens internes, liens externes,… . L’extension offre tout ce qui est nécessaire afin de poser ses éléments de bases.Le score de lisibilité est lui aussi très pratique car il va permettre de rendre la lecture de sa page plus agréable avec la longueur des phrases, taille des paragraphes, l’utilisation de mots de transitions, de la forme passive,… Selon moi cette partie est l’atout de cette extension qui aidera grandement les rédacteurs web, qu’ils soient novices pour être guidés ou plus expérimentés pour avoir un soutien.Site officiel : https://yoast.com/wordpress/plugins/seo/WordPress.org: https://en-ca.wordpress.org/plugins/wordpress-seo/Rank Math SEOPlus récent que YOAST, Rank Math est devenu rapidement une extension SEO très populaire. Avec plus de 3 millions d’utilisateurs actifs pour une note de 4.9/5 (plus de 6800 avis) l’extension ne démérite pas et a ses propres atouts.Rank Math propose toutes les fonctionnalités de base que nous avons mentionnés pour YOAST, donc je vpous épargne de vous les redire. On pourra préciser toutefois que parmi elles, Rank Math gère un peu mieux les données structurées. À ces fonctionnalités de base s’ajoute dans sa version gratuite quand cela est payant chez son concurrent notamment l’IndexNow qui permet d’avoir ses pages référencées plus rapidement par les moteurs le prenant en charge (comme Bing), la gestion des redirections, la détection des erreurs 404. Toutefois, avec plus de fonctionnalités et d’options, Rank Math demande aussi plus de configuration et de connaissances sur elles, ce qui conviendra moins aux débutants.Du côté des scores Rank Math en affiche également deux : le score SEO et le content AI. Dans son cas il donne une note sur 100. L’avantage est que n’étant pas une évaluation générale comme YOAST, il pousse à essayer de grappiller le moindre point et pousser son référencement. Surtout qu’il permet de mettre jusqu’à cinq mots-clés, ce qui permet aussi de jauger si un secondaire ne prendrait pas le pas sur son principal et diminue son score.Le score SEO regroupe les éléments de référencement de base (les même que YOAST) auxquels il donne une grande importance dans le score, mais aussi certains de lisibilité. Si pour la partie SEO Rank Math est équivalent à YOAST, il est en dessous pour ce qui est de la lisibilité avec bien moins de critères et qu’il met moins en avant. De plus tout ce qui concerne le content AI est dans la version payante. On a donc qu’un seul score plus global et qui peut pousser à chercher plus d’ajustements SEO, mais moins poussif pour la lisibilité.Site officiel : https://rankmath.com/WordPress.org: https://wordpress.org/plugins/seo-by-rank-math/Lequel choisir ou faut-il changer ?YOAST ou Rank Math ?De manière générale dans leurs versions gratuites, YOAST et Rank Math se valent pour les fonctionnalités de bases du SEO. On tendra à dire que Rank Math aura l’avantage car il offre plus de fonctionnalités dans sa version gratuite. Il sera ainsi plus adapté aux plus petits budgets, mais il demandera aussi plus de réglages et sera donc moins adapté aux débutants en SEO que YOAST.D’autant plus que si l’on recherche principalement une aide pour ses balises meta et la lisibilité de son contenu, YOAST suffira et sera un bon choix du fait de sa robustesse. Il sera donc le meilleur pour du SEO de base, mais aussi pour la rédaction web avec un score de lisibilité qui apporte une bonne aide.Toutefois il faut bien se dire que dans les deux cas, les deux extensions sont des supports pour le référencement et plus on sait ce que l’on fait (et pourquoi on le fait), moins on a besoin de certains indicateurs. Dans mon cas habitué désormais à la rédaction web, ce qu’offre en moins Rank Math ne me gêne pas car j’ai moins besoin des indicateurs de lisibilité.Changer pour l’un ou l’autre ?Souvent on vous dira que du moment que vous êtes contents et habitués à une extension mieux vaut rester sur elle. Pour ma part après des années sur YOAST, je suis passé ainsi sur Rank Math pour bénéficier des fonctionnalités supplémentaires.J’ai profité d’un moment où le référencement d’un de mes projets a chuté après un update de Google, pour tenter l’expérience. Pourquoi ne pas avoir aussi avec des scores établis un peu différemment un regard différent sur mes pages ? D’autant que le score chiffré de Rank Math dans mon cas m’incite plus à creuser plus loin pour l’augmenter. Si certains diront que cela n’incite pas plus, pour ma part changer d’extension m’a poussé à prendre du recul et revoir ma démarche. Toutefois, j’étais également dans la démarche de prendre un recul global sur le projet pour le relancer, donc changer d’extension n’a peut-être fonctionné du fait de l’état d’esprit dans lequel je me suis mis.Un critère qui pourrait pousser votre choix est si sur le long terme vous envisagez de prendre une version payante. Dans ce cas, ce qu’elles offrent en plus, les tarifs joueront dans votre balance en fonction de votre budget et besoins (et peut-être aussi si vous êtes déjà familier avec une des deux extensions).ConclusionSelon moi dans une utilisation basique, les deux extensions dans leur versions gratuites sont égales. Le choix se portera plus sur une affinité visuelle.→ Si on est débutant et ou en besoin d’aide rédactionnelle, YOAST sera le meilleur choix par son côté plus intuitif et simple et son aide à la lisibilité.→ Si on est un utilisateur plus expérimenté peu effrayé par plus de réglages et désireux de plus de fonctionnalités avancées alors Rank Math sera un très bon choix.Pour aller plus loin, et débloquer tout leur potentiel, l’une comme l’autre il faudra passer sur leurs versions payantes et c’est en cela qu’elles se démarqueront plus l’une de l’autre (mais ce n’est pas le sujet).On peut donc résumer les atouts de chacun ainsi :YOAST SEOIntuitif et fiableLargement suffisant pour du SEO basiqueUn score global qui conviendra aux novices ou ceux ne cherchent pas à pousser au détail près leur SEOUn score de lisibilité basé sur des critères rédactionnels qui aide la rédaction webAssistance visuelle des éléments à corriger dans GutenbergRank Math SEOPlus de fonctionnalités avancées5 mots-clésUn seul score global chiffré et plus finUne meilleure prise en charge des données structuréesGestion des redirectionsEt si au final vous hésitez toujours entre les deux ou n’y trouvez pas votre bonheur, il existe d’autres extensions SEO sur Worpdress qui bénéficient d’une bonne réputation (SEOPress, All in One SEO, SEO Framework,…).Pour aller plus loinLes meilleurs plugins SEO pour WordPress (WPMarmite)Les meilleurs plugins WordPress SEO (et les outils SEO) (Kinsta)15 Meilleures extensions et outils WordPress pour le référencement (wpbeginner)Plugins WordPress SEO : les 9 meilleurs recommandés (abondance) [...]Lire la suite…
21/04/2025Aujourd’hui nous allons nous plonger dans des termes de base : Front-End (ou frontend) et Back-End (ou backend).  Voilà deux termes dont chacun est lié à un des côtés d’une application web ou logicielle. De plus, derrière chacun d’eux se trouve des profils et surtout des compétences différentes. Nous allons donc voir ce que sont le Front-End et le Back-End, comment les deux fonctionnent ensemble et qui travaillent sur eux.Le Front-EndLe Front-End est la partie visible et donc publique. Dans toute application, elle est la partie avec laquelle l’utilisateur va interagir, et donc de tout ce qui est visible à l’écran. On parle donc de la partie client, celle de l’utilisateur.Du côté du web, le développeur Front-End est le webdesigner (ou designer web) ainsi que l’intégrateur HTML, puisqu’il réunit les deux. On peut aussi y ajouter le graphiste web. HTML, CSS, Javascript dans une certaine mesure (avec ses librairies comme Jquery) font partie des armes de guerre dans le Front-End. Dans les applications on va plus parler de designer d’application.Le Back-EndAprès la définition du Front-End, vous devez avoir une idée de ce qu’est le Back-End. Souvent on parle de la partie serveur avec le Back-End, tout ce que l’on ne voit pas à l’écran. Si dans le cas d’une application connectée à un réseau ou le web, les équipes d’administrations des serveurs font partie des équipes Back-End, il ne s’agit pas qu’eux. Le Back-End comprend toute la partie cachée d’une application et donc tout ce qui relève de la programmation. Cela va donc toucher le moteur d’un CMS (comme le code du noyau de WordPress, d’une extension, un moteur de jeu comme Unreal Engine, la programmation d’une feature de jeu,…).Le développeur Back-End est donc un spécialiste réseau et/ou un développeur d’application web ou logicielle, un programmeur. Les langages de programmations sont les armes du programmeurs, tels que le PHP, C++, Java, MySQL (pour les bases des données), etc… .Front-End et Back-End ensembleUn travail combinéIl va de soi que bien que distincts, Front-End et Back-End sont étroitement liés. L’un ne peut pas fonctionner sans l’autre. Ils travaillent ensemble, car la création et le fonctionnement d’un site web ou le développement d’une application demande souvent les compétences des deux.Lorsque l’utilisateur réalise des actions via l’interface, le Front-End envoie des requêtes au Back-End qui les traite. Une fois le traitement achevé, il envoie le résultat au Front-End qui les transmet à l’utilisateur.Plus les projets sont importants et ambitieux, plus ils vont demander des spécialistes de chaque côté. Cela est le cas dans le jeu vidéo, pour un grand nombre de studios, y compris chez certains indépendants, compte tenu de la complexité et des compétences nécessaires pour chaque aspect du projet. Cela est aussi le cas pour des logiciels (suite Adobe par exemple) ou plateformes (Facebook, Twitter/X), qui ont des spécialistes pour chaque domaine.Deux domaines parfois fusionnésIl arrive cependant qu’une même personne travaille sur le Front-End et le Back-End. Il n’est pas impossible d’acquérir les compétences dans les deux domaines et parfois elles peuvent être même demandées.Cela est entre autres le cas avec les CMS comme WordPress ou Joomla. Avec de tels outils, un développeur Front-End peut avoir moins à s’occuper de la partie technique et Back-End de son projet et à l’inverse, un développeur Back-End grâce aux thèmes disponibles et des connaissances pour les modifier pourra se passer de développeur Front-End.Les spécialistes les plus avancés à la fois dans le Front-End et dans le Back-End pourront quant à eux tirer le maximum du potentiel des CMS. Ils seront à la fois capables de modifier de manière poussée des thèmes voire de créer les leurs, ainsi que leurs propres extensions.Pour aller plus loinAWSIndeedCoursera [...]Lire la suite…
20/03/2025SMM pour Search Engine Marketing et ses sous-catégories comme le SEO, le SEA, ainsi que le SMM pour Social Media Marketing incluant entre autre le SMO et le SMA, sont des termes pour des domaines qui sont cousins ou voisins et souvent obscurs pour certains.Si certains sont liés aux moteurs de recherches (Search Engine), derrière chacun se trouve un domaine en particulier et on a parfois tendance à en confondre. D’autant qu’avec la montée en puissance des réseaux sociaux, de nouveaux termes se sont ajoutés. Mais pas d’inquiétude, voici un tour rapide de chaque terme, mais aussi des sous-termes qui leurs sont liés.SEM : Search Engine MarketingDébutons par le terme le plus général, car il comprend de manière globale la visibilité d’un site à la fois sur les moteurs de recherche, mais aussi les réseaux sociaux. Ainsi, on définit souvent ce domaine ainsi :SEM = SEO + SEA + SMOOn va souvent dans le SEO parler de SERP (Search Engine Results Page), c’est-à-dire de la page de résultats de recherche dans les moteurs. L’objectif du SEO est que le site apparaisse sur cette page et le plus haut possible (soit dans les premiers résultats).Cependant avec l’évolution des réseaux sociaux, il arrive désormais qu’on ne l’emploie que pour les moteurs de recherches où il devient alors :SEM = SEO + SMOQu’est-ce que le SEO, SEA et SMO ? Pas d’inquiétude, on va les voir par la suite.SEO : Search Engine OptimizationSEO est le terme le plus connu, celui dans lequel on inclut souvent d’autres par erreur. Le SEO est le référencement sur les moteurs de recherches. Il comprend donc l’indexation des pages web et leur optimisation (via la mise en page, la qualité du contenu,…) afin d’avoir le meilleur positionnement dans les résultats naturels des moteurs de recherche. On entend par résultats naturels ceux n’étant pas liés à des enchères et donc un système monétisé.SXO : Search eXperience OptimizationFusion entre le SEO et l’UX (l’expérience utilisateur), le SXO est la recherche d’une expérience, fluide, rapide, claire, afin d’améliorer le SEO d’un site (les algorithmes des moteurs de recherche prenant de plus en plus compte de cet aspect).SEA : Search Engine AdvertisingLe SEA concerne tout le référencement de manière payante, soit l’achat d’espace publicitaires. L’exemple le plus connu est les résultats sponsorisés des moteurs de recherche, via des programmes tels que Google Adwords ou Bing Adwords. Ce sont les résultats apparaissant dans les rubriques « liens commerciaux » dans les résultats de recherche. Le classement des résultats repose sur un système d’enchères et de pertinence des pages sponsorisées.SMM : Social Media MarketingIl est le terme que l’on emploie parfois pour désigner de manière générale la visibilité sur les réseaux sociaux. Ainsi :SMM = SMO + SMASMO : Social Media OptimizationIl est le terme qui n’est pas lié aux moteurs de recherches, mais aux réseaux sociaux. Le SMO consiste à optimiser la visibilité d’une marque/site sur les réseaux, que cela soit par les résultats de recherches (ex : recherche vidéo sur Youtube) et faire en sorte que les publications aient le plus de portée à travers leur commentaires, likes, partages, etc,… . Un domaine qui rejoint aussi le travail des Community Managers.VSEO  : Video Search Engine OptimizationCe terme plus récent est un enfant du SEO et du SMO. Le VSEO est dédié à l’optimisation et au positionnement sur les plateformes vidéos. Ainsi, Youtube, Tik Tok sont des exemples des plateformes sur lesquelles il va entre autres se concentrer.SMA : Social Media AdvertisingLe SMA est l’équivalent du SEA sur les réseaux sociaux. Il consiste à l’achat d’espace publicitaires payantes sur ces plateformes. Il s’agit donc de toutes les publications mentionnées sponsorisées que l’on peut voir dans son fil Facebook, Twitter/X, Instagram,… [...]Lire la suite…
01/03/2025Il fallait bien qu’un jour je parle de ce jeu qui est à ce jour certainement celui sur lequel j’ai le plus passé de temps : Warframe.Développé par Digital Extremes et disponible sur toutes les plateformes, Warframe est sorti en 2013 et j’ai débuté mon aventure sur jeu en 2019.Qu’est-ce que Warframe ?Voilà une bonne question quand lors des Games Award 2024 Rebecca Ford la game director du jeu à cette question a répondu qu’eux-même ne savaient pas. Il faut dire que Warframe est un jeu assez atypique. Alors pour résumer je vais prendre la définition de Wikipédia :Warframe est un jeu de tir à la troisième personne en ligne de type free to play développé par Digital Extremes et disponible sur PC et sur diverses consoles, à savoir, PlayStation 4 et PlayStation 5, Xbox One, Xbox Series et Nintendo Switch.Les joueurs incarnent les Tennos, des humains ayant des pouvoirs combattant à l’aide d’armures nommées Warframes. Ils œuvrent pour le maintien de l’équilibre dans le système solaire, réduisant les rangs des factions Grineers, Corpus et tentant d’éradiquer une épidémie mutante nommée Infestation.Pour ce faire, les Tennos participent à différentes missions.Bon cela est une description très grossière, donc voici une liste de mot-clés pouvant définir tout ce qu’il propose :PvEune trentaine de types de missionsdes missions courtes (-5min) ou sans fin4 mondes ouvertsune soixantaine de warframes jouablesun système de mods pour personnaliser les stats et/ou capacités des warframes et armes offrant des milliers de possibilitésde la fashion : warframes, customisation de sa base (avec 4 bases)un jeu totalement free (tout est obtenable gratuitement)De quoi ça parle Warframe ?L’histoire de Warframe prend place dans le système solaire, autrefois contrôlé par l’Empire Orokin. Les orokins étaient et se considéraient comme des dieux, leur dominance reposant sur le néant, leur donnant une puissance inégalée. Seulement ils entrèrent en guerre contre les sentients, une race intelligence artificielle qu’ils avaient eux-même créé afin de terraformer un nouveau système. Malgré leur victoire, leur empire s’effondra par la suite et il n’en reste désormais plus que des vestiges.Le joueur incarne un tenno, venant de l’époque des orokins, qui se réveille des siècles après leur chute. Le système solaire est dans le chaos, les grineers une faction militaire, les corpus une faction marchande robotique et les infestés une race virale s’affrontent.Le tenno guidé par le Lotus, va devoir rétablir l’équilibre et aussi affronter des dangers encore plus grands que ces trois factions.Pourquoi Warframe c’est bien ?Des missions variée et un temps de jeu adaptatifUn des points avantageux pour moi est la possibilité de pouvoir faire des sessions de 5min comme de plusieurs heures selon son envie ou temps. Ainsi, on peut avancer dans Warframe a son rythme.Le large choix de type de missions et objectifs rend l’expérience variée. On peut se concentrer sur un objectif précis comme varier durant ses sessions. On a toujours quelque chose à faire dans Warframe.Du building et customization richesEt bien cela est déjà mentionné juste avant. Warframe offre des centaines de possibilités de customisation de ses warframes et armes que cela soit dans leur apparence ou dans le gameplay. Ainsi, en passant d’une warframe ou d’une arme à une autre, le gameplay change. D’autant que le nombre d’activités et de types de missions est grand.Un vrai Free-to-Play sainEnsuite le jeu bénéficie d’un très bon système économique. On peut obtenir toutes les warframes et armes du jeu sans dépenser un seul denier. Si on décide d’acheter de la monnaie du jeu, les prix sont très raisonnables, d’autant que l’on reçoit régulièrement des bons de 20 à 70% de réduction.Un lore grand et richeEt il y a aussi le lore du jeu. L’histoire et l’univers de Warframe sont très riches, avec une grande histoire principale, mais aussi de nombreuses side-stories. D’autant que les développeurs ne donnent jamais toutes les clés, ce qui laisse une part belle à l’imaginaire et aux théories.Des développeurs motivésDigital Extreme soigne son jeu et se montre à l’écoute des joueurs et de leurs retours. On voit régulièrement des changements afin de modifier ce que les joueurs aiment moins et corriger les problèmes.On peut sentir une équipe de passionnés dont certains membres, parfois trop excités par ce qu’ils développent leakent eux-mêmes des informations lors de streams. De plus on peut dire qu’ils e lâchent dans ce qu’ils mettent en place dans le jeu, amenant ainsi de la nouveauté, mais aussi des surprises et des originalités (parfois un peu décalées) dans les mises à jour du jeu. Ce qui contribue aussi à la variété dans les activités du jeu.Une bonne communautéIl ne faut pas oublier également parler de la communauté qui dans son ensemble se révèle avec un très bon esprit. Il y a bien toujours deux trois brebis galeuses mais  l’ensemble y est très bonne. Le fait de l’absence de PvP contribue grandement à cette ambiance car cela écarte les rivalités (non le Conclave tu es là mais tu ne comptes pas tellement tu es oublié).Comment débuter Warframe ?Maintenant que vous êtes convaincu (si vous l’êtes), vous allez vous retrouver confrontés à la quantité de choses que propose le jeu. Warframe demande du temps, il faut savoir patienter pour certaines choses. Les débuts peuvent être durs, mais insister vaut le coup. Passé les premiers pas parfois compliqués, le fun arrive. Mais pas d’inquiétude, voici maintenant quelques conseils de base pour bien débuter.Commencer par Warframe ou Duviri ?Cela va dépendre de ce que vous recherchez dans le jeu. Si vous êtes un grand passionné de lore et de découverte de l’univers d’un jeu, vous pouvez commencer par la partie Warframe. Personnellement c’est celle que je vous conseillerai car je la trouve plus passionnante et Duviri se raccorde bien à elle niveau lore en le faisant après la quête principale New War.Si vous êtes plus un passionné de technique et de modding et bien la partie Warframe vous l’offrira. Cependant Duviri vous permettra de tester une grande variété d’armes et de warframes dès le début, sans devoir les posséder. De plus vous pourrez y collecter des parties de warframes de base, des arcanes, certaines armes assez vite.Sur quoi se concentrer en premier ?quêtes principales (pour suivre le lore et débloquer toutes les fonctionnalités principales)débloquer toutes les missions de la carte du système solairetrouver un clan (cela vous permettre de débloquer de nombreux équipements)monter 2 ou 3 des syndicats de base au rang maximumatteindre le mastery rank 16 pour avoir accès à toutes les armesQuoi faire de ses platiniums ?Quand vous aurez vos premier platiniums (plats pour les intimes) vous allez peut-être tenté d’acheter des cosmétiques, d’accélérer vos crafts.Ne faites pas cela, gardez-les pour des emplacements de warframes et d’armes. Vous arriverez assez vite au moment où vous pourrez acheter des cosmétiques. Quant au craft, le temps gagné ne vaut pas le prix en plats.Acheter et vendre pour se faire des platiniumsLe conseil est simple. Pour tout achat ou vente de parties primes ou échangeables avec d’autres joueurs, utilisez Warframe Market et jamais le chat en jeu. Malheureusement sur celui-ci certains joueurs profitent que des nouveaux joueurs ne connaissant pas ou mal les prix pour leur vendre des objets hors de prix ou leur en acheter au rabais. Je vous avez bien dit qu’il y avait quelques brebis galeuses dans le jeu.Ne pas vendre des warframes normales pour des crédits ou des emplacementsAu début vous serez peut-être tentés de vendre des warframes parce que vous avez eu leur version prime et libérer un emplacement. Ne le faites cela que lorsque vous aurez débloqué le système helminth. Ce système en résumé vous permettra de remplacer une capacité de warframe par celle d’une autre. Mais pour faire cela vous devrez sacrifier la warframe normale détenant le pouvoir que vous voulez donner.Ainsi si vous avez vendu votre warframe, vous devrez la farmer à nouveau, ce qui pour certaines peut être contraignant (on te voit Equinox). Soyez rassuré, une fois la warframe sacrifiée, le pouvoir est transférable de manière illimitée. Nul besoin de farm la warframe à nouveau chaque fois.Apprendre à modderC’est le nerf de la guerre, pour accomplir vos missions, il va vous falloir apprendre à modder vos warframes et vos armes. Pour cela, on peut dire qu’il y a deux niveaux. Le premier est celui qui permet de tuer simplement ses adversaires et le second est celui qui permet de faire exploser son compteur de dégâts.Warframe permet pour chaque item des dizaines voir des centaines de manières de modder. Des joueurs vont sans doute vous conseiller “ce build là”, parce que c’est leur build qui fonctionne ou parce qu’il est méta. Pour apprendre à modder, vous devez alors leur poser la question “Pourquoi ?” pour comprendre pourquoi ils ont fait comme cela et cela est une possibilité qui marche.Et n’oubliez pas une chose importante : toute pièce d’équipement correctement moddée (ou un minimum) peut permettre d’aller jusqu’au bout du jeu. Même votre toute première arme. Oui, même ce vieux MK1 Braton peut faire du haut niveau !Je ferai peut-être un article sur le modding de base un jour !Se faire une routineSi vous voulez avancer de manière constante, il vous faut mettre en place une routine hebdomadaire voire journalière. Et la suivre à peu près ou avec grande rigueur. Cela dépend du point où vous en êtes dans le jeu et donc de votre niveau, mais il y a des grands classiques dès le début :faire vos missions de syndicats (pour les monter et récolter des médaillons, à conserver quand vous aurez besoin d’acheter des packs de reliques en masse pour farm les nouveaux équipements prime qui sortent)la sortie journalièreles invasions au besoin (pour certains équipements et matériaux)les objectifs des ondes nocturnes (qui débloquent des emplacements, des armes, des mods, des cosmétiques, des décorations,…)arbitrages (pour les essences de vitus pour les items et mods exclusifs chez les arbitres)Clem (au début ses clones aident bien et en plus c’est Clem !)gérer vos extracteurs qui vous donnent des ressourcesD’autres objectifs s’ajouteront quand vous attendrez le haut niveau par la suite.Des outilsQuelques sites et outils vous aideront dans vos aventures et vous y retrouver.Le site officielC’est une évidence mais le site officiel offre les news du jeu, des informations de base, les patch notes sur le forum etc,…➡️https://www.warframe.com/landingWarframe companionDisponible sur Google Play, il vous permet quand vous n’êtes pas en jeu de collecter vos extracteurs et gérer vos crafts. Très utile pour gagner du temps.➡️ https://play.google.com/store/apps/details?id=com.digitalextremes.warframenexusLe wiki officielEn anglais, mais il contient une tonne d’informations sur le gameplay et les détails des équipements, mais aussi leur obtention.➡️ https://wiki.warframe.com/Warframe MarketJ’en ai parlé avec l’achat et la vente avec des plats. Le Warframe Market est le site à utiliser.➡️ https://warframe.marketOverframeOn va sans doute vous conseiller ce site également. Il est bien pour trouver des builds qui fonctionnent au début et comprendre la démarche des joueurs. Lisez donc bien les descriptions et explications données par les joueurs. Petit à petit vous comprendrez la mécanique.Cependant il a aussi ses limites. Certains builds avec un grand nombre de votes n’ont pas été mis à jour depuis longtemps et ne suivent pas certains changements. De plus, certains builds sont spécifiques à un style de jeu et fonctionnent à leur potentiel maximum avec une combinaison d’items en particulier. Arrivés à un stade du jeu, Overframe vous servira plus d’inspiration que pour vous donner le build qu’il vous faut, celui qui vous est adapté.➡️ https://overframe.gg/AlecaFrameVoici un outil dont on vous parlera. Application d’Overwolf, cet add-on permet d’optimiser son farm, en vous indiquant plus clairement en fin de mission ce que vous possédez, ce qui vous manque, vos stocks de reliques etc,… De plus, il se relie au Warframe Market également. Un bon nombre de joueurs et créateurs de contenu l’utilisent et le présentent.Cet add-on est fabuleux, c’est un fait cependant il ne s’agit pas d’une application officielle. En cas d’utilisation frauduleuse, de faille qui pourrait corrompre le jeu, Digital Extreme pourrait appliquer des sanctions. Si les risques semblent minimes car l’application ne fait que lire les données du jeu et n’affecte pas le code directement, il n’y a pas de risques zéros.De plus l’add-on est lié à Overwolf, dont la réputation ne fait pas l’unanimité du côté de la sécurité, des données, etc… plus pour votre PC que pour Warframe. Ainsi certains vous diront qu’il n’y aucun risque, d’autres qu’il faut le fuir comme la peste. Honnêtement, malgré des recherches, je n’ai jamais trouvé une réponse totalement claire. Aussi, pour ma part bien que l’ayant utilisé un moment, je l’ai laissé. Sans certitude, je joue la prudence (et mes notes me suffisent). Je vous laisse regarder et vous faire votre propre opinion à ce sujet.➡️ https://alecaframe.com/Pour aller plus loinVVhite Angel : actualités du jeu, review, de warframes et d’armes, tutos de gameplay,…➡️ site➡️ Youtube➡️ TwitchLes Archives : le lore➡️ Youtube➡️ TwitchPandaahh : du modding, beaucoup de modding et d’explications sur celui-ci (c’est un fou sur ce sujet, dans le bon sens du terme)➡️ Youtube➡️ TwitchElnoraEleo : un peu de tout dans le jeu, beaucoup de discussions diverses dans une bonne ambiance. En plus elle aime la k-pop et ça c’est bien.➡️ TwitchBonus : Les références légendaires et mythologiques dans Warframe (un article que j’ai écrit pour Dol Celeb). [...]Lire la suite…
26/01/2025Haaa la guerre des navigateurs, celle-ci dure depuis l’aube des temps. Du moins d’internet. Pour ma part, j’ai passé du temps sur Firefox, puis Chrome et enfin Opera dont j’avais fait le test, je suis revenu sur Firefox. Mais pourquoi ? Et bien en voilà les raisons (même si certaines ne lui sont pas exclusives).Qu’est-ce que FirefoxAvant de commencer, faisons un petit rappel de ce qu’est Firefox. Il s’agit d’un navigateur web libre et gratuit. Il a été développé et distribué par la Mozilla Foundation depuis 2003. Il s’agit d’un projet open source, ainsi il est développé par des bénévoles. Firefox bénéficie d’une certaine popularité, qui en fait un des navigateurs historiques. Ses qualités sont reconnues puisque par exemple en 2019, l’agence allemande de sécurité informatique l’a désigné comme le plus sécurisé.Outre Firefox. on doit aussi le client de messagerie Thunderbird, lui aussi très populaire.Les raisons pour adopter Firefox1. QuantumPour qui veut sortir de l’écosystème chromium sur lesquels reposent la plupart des navigateurs, Mozilla a développé Quantum sa propre base pour Firefox. Ainsi, ils conservent une indépendance par rapport à Chromium est donc Google.2. Les performancesSi Firefox n’est toujours pas le meilleur en termes de performances générales dans certains stress tests, il reste très performant. Il se montre très rapide et fiable. De plus, il fait partie de ceux consommant le moins de ressources mémoire.3. Le respect de la vie privéeC’est un aspect qui a pris énormément de poids chez les utilisateurs dans le choix de leur navigateur ces dernières années. La protection de la vie privée est un atout que Firefox met très en avant. Ce ne sont pas que des mots car Mozilla y veille dans les fonctionnalités de base et activées par défaut de son navigateur. Le modèle open source et fondation de Mozilla sont également rassurants par rapport à des navigateurs derrière qui se cachent des géants du web ou des entreprises privées dont on peut parfois avoir des doutes.4. La protectionFirefox inclut des fonctionnalités pour se protéger de sites malveillants, dont il bloque l’accès. Si les utilisateurs avancés sont plus habitués a faire attention aux sites sur lesquels ils se rendent, cela sera très utile pour des moins vigilants.5. La synchronisationCertes cela est devenu une fonctionnalité commune à tous les navigateurs, mais on apprécie quand l’ensemble de nos favoris, extensions, historiques, mots de passe (si vous les enregistrez avec le gestionnaire de mot de passe de navigateur) se retrouvent d’un appareil à l’autre (mobile compris). Tous les navigateurs ne l’avaient pas auparavant et donc c’est bien de signaler que cela est présent. D’autant que la synchronisation fonctionne très bien (là où cela bugue parfois chez d’autres).6. La personnalisationEntre ses réglages de base, ses thèmes, la personnalisation de sa page d’accueil et les extensions, Firefox permet de configurer son navigateur selon ses envies et ses besoins.7. Picture-in-PictureCette fonctionnalité native également sur Opéra et disponible sur d’autres navigateurs via une extension est très pratique. Elle permet de détacher des vidéos pour les avoir en miniatures flottante tout en continuant de naviguer. Très pratique.8. Firefox FocusBon ok, sur ce point là je triche un peu, car cela n’est pas le Firefox de base. Il s’agit d’un application mobile, différente de Firefox mobile. Elle est très pratique puisqu’elle est faite pour intégralement protéger l’utilisateur. Chaque utilisation bénéficie de la protection automatique contre le pistage, pas d’historique conservé, tout est fait pour protéger les données. Idéal donc pour des recherches ou consultations rapides, encore plus sur des réseaux publics.9. PocketAcquise en 2017 par Mozilla, Pocket est une application permettant de sauvegarder des articles à lire plus tard, des liens et de les classer par catégorie ou via des labels. Incluse nativement dans Firefox, elle est très pratique pour sauvegarder du contenu que l’on veut garder pour plus tard. Sur mobile via les fonctions de partage des apps, on peut y envoyer ses liens et Pocket a sa propre app pour les retrouver et les consulter.10. Les extensionsAlors certes, il en a moins que Chrome, toutefois il offre un catalogue assez grand pour y trouver son bonheur, même s’il peut arriver que son extension favorite n’y soit pas dessus. Cependant on trouve aussi des extensions chassées ou limitées sur Chromium qui y trouvent ici un refuge (oui uBlock Origin on parle entre autre de toi). On n’est pas limité et on trouve des extensions vérifiées par Mozilla, ce qui est un gage de sécurité.ConclusionSelon moi Firefox offre un certain nombre d’avantages par rapport à la concurrence qui en font un très bon choix. Si ce n’est la meilleure alternative à Chrome et Edge. Il a cependant ses défauts, on ne le cachera pas comme parfois des performances en retrait sur les bancs d’essais, des extensions populaires absentes du catalogue, la guerre avec Google, etc,… . Il n’en reste pas moins un projet historique dans les navigateurs par sa longévité et une valeur sûre.Pour aller plus loinFirefox BrowserFirefox Mobile :Google PlayApple StoreFirefox Focus :Google PlayApple StorePocketRedditQu’est-ce que FF? (Lenovo) [...]Lire la suite…
09/01/2025Se lancer dans le défi d’apprendre une nouvelle langue, voilà quelque chose dont nous sommes nombreux à y avoir pensé. C’est souvent une bonne chose et les raisons peuvent être variées, par obligation ou non, mais dans tous les cas c’est une expérience enrichissante.Je me suis lancé dans cette aventure il y a quelque temps avec une langue supplémentaire à l’anglais et j’avais envie d’en parler. Le pourquoi se lancer dans ce défi, de manière générale, mais aussi partager ma démarche.Bien évidemment je ne suis pas un expert et linguiste, ce n’est que ma vision des choses selon ma propre expérience. Par contre et ce n’est pas moi qui le dit, il n’y a pas d’âge pour en apprendre une nouvelle langue.@drmichelcymes 🧠 Pour tout comprendre sur votre mémoire et mieux l’entretenir : notre nouveau livre « #Mémoire : vous avez le pouvoir » est sorti dans les librairies ! #Santé #tiktokacademie @Fabien Olicard #Booktok ♬ Winter / Chill / R & B_No517 – table_1Pourquoi apprendre une nouvelle langue ?Un besoin professionnelC’est souvent la première raison pour laquelle on décide d’apprendre une nouvelle langue. Un besoin professionnel selon son métier, surtout si on part travailler dans un autre pays. Dans mon domaine, l’assurance qualité dans le jeu vidéo, l’anglais était une obligation, cette industrie l’utilisant principalement. Encore plus en étant au Canada. Toutefois, en ce qui concerne une langue supplémentaire, cela n’est pas dans mon cas une raison professionnelle.Des raisons personnellesSi on planifie de partir en voyage dans un pays étranger, peut-être plusieurs fois parce qu’on l’aime, on peut être amené à vouloir en apprendre la langue pour s’y immerger encore plus. D’autant que dans certains pays, l’anglais y est peu pratiqué, ce qui ne facilite pas son voyage.Un autre raison peut-être liée à l’entourage, si on est en couple et que son ou sa partenaire est d’origine d’un autre pays. Pour la communication dans le couple, mais aussi peut-être pour l’intégration dans sa famille.Stimuler son cerveauOn y pense pas toujours, mais apprendre une nouvelle langue est un excellent exercice pour faire travailler son cerveau et sa mémoire. Il n’y a pas d’âge pour cela, le cerveau est un muscle que l’on doit entraîner et maintenir.Dans mon cas, outre l’envie d’ajouter une corde à mon arc, c’est une raison qui m’a décidé, réalisant à quel point ma prise de note et d’aides mémoire avait augmenté au fil des ans du fait de l’utilisation de logiciels ou apps sur le téléphone. J’ai ainsi ressenti le besoin d’avoir une activité faisant travailler ma mémoire et mon cerveau.Ma démarcheLe choix de la langueSi l’apprentissage d’une nouvelle langue est par nécessité, alors le choix est évident. Mais on peut aussi avoir le choix comme cela fut mon cas, ce qui m’a amené à songer à certaines, sans me décider et me lancer. Jusqu’à ce que quelques années après, je prenne la décision avec un choix plus évident.Pourquoi pas l’espagnol ou le chinois ?Mon envie d’apprendre une langue supplémentaire a débuté il y a plusieurs années. En premier lieu j’ai pensé à l’espagnol et au chinois. Oui, les deux n’ont rien à voir, mais ce sont deux langues très utilisées. Ce qui peut être utilisé d’un point de vue professionnel, mais aussi personnel au Canada, car les communautés Sud américaine et chinoises y ont une forte présence.Cependant j’ai eu deux soucis avec ces langues. Outre l’utilité je n’étais pas spécialement attiré par ces langues. En plus le chinois c’est dur. Sans nécessité d’en apprendre une des deux, il me fallait quelque chose de motivant, qui me plaise. Cela est bien connu, sans motivation, il est dur de trouver de la régularité. Un autre point important également était la pratique. Apprendre une nouvelle langue c’est bien, pouvoir la pratiquer ne serait-ce qu’un peu, c’est mieux.Et pourquoi pas le japonais ?J’ai donc pensé au japonais, amateur de mangas et anime oblige. Mais cela ne cochait pas des cases évoquées précédemment. Je lis principalement des mangas en français, les animes je les regarde en vostfr. J’écoute bien un peu de j-pop, mais pas assez ne serait-ce qu’entendre, écouter du japonais régulièrement. Et la communauté japonaise n’est pas la plus grande où je suis.Finalement, j’ai mis l’idée d’apprendre une langue de côté, un peu aussi par manque de temps et de place dans mon esprit pour cela.Mais bien sûr, cette langue là !Quelques années passées, l’envie d’apprendre une nouvelle langue est revenue. Ce qui est venu comme mentionné auparavant par l’envie de faire travailler mon cerveau et ma mémoire.Quelle langue choisir alors ? Celles pensées auparavant pouvait revenir sur la table. Cependant un tout autre choix était évident : le coréen.Mais pourquoi le coréen ?Et bien je vais vous le dire. C’est un mélange de plusieurs raisons que je ne vais pas donner par ordre d’importance.Il y a d’abord des raisons techniques. Je voulais une langue très différente des latines et anglo-saxonnes. Les langues asiatiques sont parfaites pour cela avec un alphabet et des structures totalement différentes. Ce qui est parfait aussi pour faire travailler sa mémoire avec tant de différence. Il y a également le fait que le coréen est souvent décrit comme une langue scientifique, car le fonctionnement de son écriture est très logique. Ce qui est encore mieux, que de faire travailler aussi son esprit logique avec la mémorisation.Viennent ensuite des raisons plus personnelles. Depuis quelques années, j’ai plongé dans la k-pop. J’en écoute beaucoup. Vraiment beaucoup et je regarde aussi régulièrement des vidéos, interviews, vlogs des groupes, dont certains me font découvrir la Corée en même temps. Cela me plait et me donne envie de comprendre les paroles des chansons ou ce qui se dit sans sous-titres, sans devoir traduire (ou moins en tout cas). De plus écouter quasi tous les jours de la musique et des paroles en coréen, cela fait pratiquer en soit. J’ai donc trouvé des raisons motivantes avec cette langue pour me lancer !Se fixer des objectifs et une méthodeA l’heure où j’écris ses lignes j’en suis encore au début de mon apprentissage que j’avance petit à petit. Je n’ai pas d’impératif, je prend mon temps. Mais après le choix de quelle langue, il faut se fixer des objectifs, des paliers. Pour ma part cela a été d’apprendre les bases, la structure des phrases, les conjugaisons et débuter d’avoir du vocabulaire (là où j’en suis actuellement). Je suis dans l’objectif d’avoir des notions et donc un niveau débutant dans un premier temps et je placerai la barre plus haut une fois cela atteint. Aussi j’ai accordé ma manière d’apprendre une nouvelle langue en fonction de ce que je vise. Ce qui donnera lieu à un autre article sans doute sur ce que j’utilise pour débuter le coréen.D’autres personnes mettront de suite la barre bien plus haut, car ils en auront besoin dans leur vie de tous les jours et/ou leur travail. Chacun adapte selon sa situation. Dans tous les cas, même si cela compliqué et on ne cachera pas qu’apprendre une nouvelle langue n’est pas toujours facile, cela vaut la peine. On en ressent des effets positifs et stimulants, comme quand on débute la gym ! Donc n’ayez pas peur et lancez-vous aussi !Pour aller plus loinLes meilleures façons d’apprendre une nouvelle langue (La Presse)Apprendre une langue à la maison gratuitement (BanQ)Mes conseils pour mieux apprendre une langue (Gouvernement du Canada) [...]Lire la suite…
19/12/2024Quand on évolue dans le milieu du test que cela soit dans le jeu vidéo (et je vous rappelle que tester n’est pas jouer), le logiciel ou le web, on parle souvent d’Assurance Qualité et Contrôle Qualité (Quality Assurance, QA et Quality Control, QC). Si beaucoup de personnes, cernent en quoi cela consiste, le rôle reste un peu flou dans les détails.Certains y verront deux termes différents désignant la même chose, des domaines semblables, mais…S’ils sont voisins, ces deux domaines ne sont pas les mêmes, d’autant plus que selon les entreprises et les domaines on peut trouver des variations dans leurs définitions. Je vais tâcher de généraliser ce qu’est chacun et en quoi ils se distinguent, pour vous en donner une idée plus précise.L’Assurance Qualité (Quality Assurance, QA)Le but de l’Assurance Qualité est de par le biais de diverses procédures et plans de test de s’assurer qu’un projet ait la plus haute qualité possible. Elle travaille en étroite collaboration avec les équipes de développement afin de valider le projet et ses fonctionnalités à diverses étapes. Ainsi, elle s’assure que tout fonctionne, tel que cela a été défini.Ces étapes peuvent comprendre, une nouvelle version du projet, les versions de soumission (celles qui vont être soumises par exemple pour des jeux à Sony, Microsoft, Nintendo). Mais cela peut aussi aller au-delà de la sortie du projet lors du développement de futures mises à jour.Ainsi le QA va être concentré sur le processus de fabrication et faire la plupart du temps preuve de proactivité afin d’éviter les problèmes avant la sortie du projet mais des fois aussi à sa sortie ou de ses mises à jour afin de les détecter le plus tôt possible.Le Contrôle Qualité (Quality Control, QC)La différence majeure du QC est quand il intervient. Pour sa part son rôle est avant la sortie du projet ou après celle-ci. Il va chercher à identifier les problèmes rendant le projet non-conforme lorsqu’il va ou lorsqu’il est sorti. Il se concentre sur ce qui affecte les normes du produit, plus que sur ce qui pourrait relever de l’expérience utilisateur et donc plus sur le purement technique. Une grande partie de son travail est sur la version finale du produit, celle que les utilisateurs vont ou ont en main.Il va utiliser divers outils pour mesurer la performance du produit, s’assurer que ses caractéristiques techniques restent conformes aux critères voulus et/ou imposés. On peut résumer en quelque sorte sa tâche par une inspection technique du produit.Ainsi le QC pour sa part est concentré sur le produit et va devoir faire preuve de réactivité face aux éventuels défauts du produit. L’objectif étant qu’ils soient corrigés lors d’une nouvelle version ou un correctif.Pour aller plus loinGestion de la qualité, contrôle de la qualité ou assurance de la qualité? (Gouvernement du Canada)Un ingrédient essentiel pour la réussite d’une organisation (ISO)Management de la qualité (Wikipédia) [...]Lire la suite…
15/11/2024Quand on rédige des articles sur un site ou un blog, il se pose souvent la question des images que l’on va utiliser. Dans la plupart des cas, on part en quête d’images libres de droits et les plateformes en la matière sont assez nombreuses. Toutes les banques d’images n’offrent pas le même type d’images ou de taille de catalogue. Sans compter que certains sites parmi les gratuits demandent de bien vérifier les droits et d’autres sites payants. Pour ma part j’ai ma petite sélection de sites que je vous partage dans cet article.Wikimedia CommonsS’il y a bien un site qui offre du contenu gratuit c’est Wikipedia. Wikimedia Commons regroupe plus de 110 millions de fichiers libres de droit. On y trouvera donc facilement des images correspondant à nos attentes. Certes la qualité de certaines images sera moindre que dans des sites spécialisés, mais on a l’assurance que le contenu est bien libre. C’est aussi (dans mon cas pour mon site de mythologies) une très bonne source dans tout ce qui est images « historiques » provenant de peintures, sculptures etc,…PixabayPixabay est une des grandes plus grandes et populaires plateformes en la matière. Le site offre un large choix d’images gratuites avec un catalogue dépassant les 5 millions d’images en haute résolution. Avec la montée de cette technologie, Pixabay propose des images générées par IA, ce qui accroît son catalogue. Si on est rebuté par cela, le site est transparent et ce type d’image est mentionné clairement. Le catalogue va plus loin que des images, puisqu’on peut aussi y trouver des vidéos, sons, gifs animés, images vectorielles.DepositphotosDepositphotos est un site que l’on pourrait qualifier peut-être de plus professionnel dans la mesure où il demande un abonnement. Il sera le seul payant dont le parlerai, car il est le seul de ce type que j’utilise. Donc le seul pour lequel je peux faire un retour d’expérience. Il offre un catalogue de qualité d’images en haute résolution et pour certaines aussi en vectoriel. Il propose également un catalogue de sons mais aussi d’outils d’édition d’images en ligne, d’éditeur de cartes Vista Print, de génération d’images par IA.PexelsSi je me sers moins de Pexels comparé aux trois précédents, ce site gratuit n’en reste pas moins intéressant. Son catalogue d’images et vidéos est suffisamment fournit pour y trouver son bonheur.3 sites alternatifs de photographiesUnplashUnplash est un autre site intéressant, surtout je trouve en ce qui concerne les photographies, qui y sont de grande qualité.StockvaultVoilà encore une bonne alternative pour trouver gratuitement son bonheur. Stockvault propose lui aussi un catalogue de photographies de qualités, avec une contenu varié.StockSnapDernière alternative, StockSnap propose lui aussi de nombreuses photographies de qualité.OpenverseBon d’accord, il ne s’agit pas d’une banque d’images gratuites et libres à proprement parler, mais plus d’un moteur de recherche. Toutefois, Openverse peut être utile pour chercher du contenu sur différentes plateformes, même si pour certaines, il faudra ensuite vérifier les droits spécifiques pour chaque image. Il permet également de chercher des fichiers audio.Pour aller plus loinSi vous désirez creuser le sujet et chercher d’autres sites, peut-être plus spécialisés pour certains, des institutions officielles répertorient des banques de médias :Ministère français du travail et de l’emploi : https://fse.gouv.fr/les-banques-dimagesUniversité de Laval : https://www.bibl.ulaval.ca/ressources-par-categories/ressources-en-libre-acces/banques-dimages-en-libre-accesCentre de services scolaires de Montréal : https://bibliotheques.csdm.qc.ca/10_banques_images_gratuites_libres_de_droits/Institut National de la Recherche Scientifique : https://sdis.inrs.ca/trouver-images-libres-de-droits/Université de Montréal : https://bib.umontreal.ca/guides/types-documents/imagesCertains sites spécialisés donnent également des références :WPMarmite : https://wpmarmite.com/images-libres-droit-blog/ (et en plus il explique les licences et droits)Agorapulse : https://www.agorapulse.com/fr/blog/6-sites-images-libres-de-droit/Blog du Modérateur : https://www.blogdumoderateur.com/tools/design/banque-images/Presse-citron : https://www.presse-citron.net/comparatif-meilleure-banque-images/Clubic : https://www.clubic.com/banque-d-image/best-pick-414498-meilleures-banques-d-images-gratuites-le-comparatif-2022.html [...]Lire la suite…
28/10/2024« Ha tu es testeur ? Cool tu joues toute la journée !”Combien de fois ai-je entendu cette phrase après avoir dit mon métier. Toi aussi ami testeur tu connais cela et pour les autres, certains d’entre vous l’ont probablement déjà dit ou pensé.Seulement les apparences sont trompeuses et l’habit ne fait pas le moine. Tester n’est pas joueur, le testeur n’est pas (que) un joueur, loin de là, (du moins dans ses heures de travail :p). Il est venu le temps d’expliquer cela.De quel type de testeur est-il sujet ?Il faut d’abord clarifier de quel type de testeur on parle, car il y a parfois confusion, quand on généralise entre deux types de testeurs. Il ne faut pas confondre le testeur-critique pour la presse et le testeur de production, d’Assurance Qualité (Quality Assurance, QA) et de Contrôle Qualité (Quality Control, QC). Dont j’explique la différence dans un autre article.Ici on va parler catégorie qui travaille au sein de l’industrie du jeu vidéo. Le rôle principal du testeur au sein des studios n’est pas de juger un jeu selon différents critères, mais dans les grandes lignes, de veiller que tout fonctionne comme cela est attendu. Ainsi il reporte les bugs entraînant des problèmes techniques ou qui affectent des fonctionnalités (qui ne fonctionnent par exemple pas comme cela est prévu par les designers). Il vérifie également qu’une fois que ces bugs sont annoncés comme corrigés, qu’ils le sont bien.La différence entre tester et jouer« Oui mais pour tester il faut jouer, donc tester c’est jouer ! »Oui et non. Certes pour tester il faut « jouer » au jeu, parfois même y faire de la progression, parcourir des niveaux, faire des matchs, etc,… . Cependant manette en main, dans leur globalité, les actions du testeur sont différentes de celles du joueur.Des objectifs abordés différemmentDans une partie, le joueur est dans la recherche de progression dans le jeu (avancer du scénario, accomplir une quête, prendre des niveaux,…) et son attention est principalement concentrée sur cela. Si le testeur est amené un moment ou un autre à accomplir les mêmes actions, son attention n’est pas portée uniquement son objectif. Il prête attention à tout ce qui est mis en œuvre, il observe, scrute. Est-ce que les graphismes, les animations, le son, les éléments d’affichages, les actions fonctionnent.Actions répétées et improbablesComme parfois il y a plusieurs manières d’accomplir un objectif, le testeur va être aussi amené à parfois refaire une même action, un même objectif plusieurs fois.Il va même devoir faire des actions, en apparence assez improbables, voir débiles, parce que derrière l’une d’entre elle se cache peut-être un joueur qui va la faire et un bug. Et on a beau essayer de toute envisager, les joueurs sont très imaginatifs. Oui, on te connaît Jean-Claude, qui fait en jeu ce que personne n’a jamais tenté, par hasard ou non.Un gameplay technique plus que ludiqueAinsi le gameplay du testeur est plus dans une perspective technique que ludique. D’autant qu’il utilise souvent des outils (des cheats de développement) pour simplifier ses tâches, que les joueurs n’ont pas, ce qui peut changer l’expérience du jeu. Imaginez par exemple que vous devez tester le level design d’une zone d’un soul-like (donc tout ce qui est décor et environnement), mais que les ennemis, voir un boss sont là. L’enfer non ? Aussi bon soit-il, le testeur aurait sans doute besoin du double de temps pour tester cela, sans un cheat de développement, qui rend son personnage immortel ou tue d’un coup tous les ennemis. Dans ce cas, si le testeur est sur le jeu comme le sera le joueur, son expérience est différente et dans un but différent.Si on doit résumer cette partie, on pourrait dire que le testeur ne va pas chercher une sensation, un ressenti, un accomplissement mais une validation technique. Quand le joueur de son côté a une progression dans le jeu et vit une expérience, le testeur se place dans un contexte bien défini pour vérifier un point précis.Tester n’est pas qu’être sur le jeuBien, maintenant vous avez compris qu’un testeur ne joue pas. Mais comme beaucoup, vous vous dites sans doute qu’il reste la grande majorité de sa journée manette en main.Une fois encore, la réalité est bien différente. Dans son expérience, le joueur est en jeu lors de ses parties logique). Le testeur de son côté ne passe pas tout son temps sur le jeu. Tester c’est aussi passer du temps dans des bases de données de bugs (en rentrer de nouveau, en mettre à jour,…), mais aussi dans les plans de tests (des documents listant les éléments qui vont à être à tester, voire les tests à performer), la documentation du jeu (pour connaître les fonctionnalités du jeu et comment elles doivent fonctionner).Sans oublier les interactions avec d’autres équipes ou membres de la production, pour rapporter des problèmes, trouver des réponses, les meetings. Le temps consacré à cela est loin d’être négligeable puisqu’il constitue non loin des ¾ du temps du testeur.Tester est plus que jouerC’est donc pour toutes ces raisons que le testeur, aussi joueur soit-il en même temps s’éloigne en bien des aspects du joueur et que tester est éloigné de jouer. Je ne l’ai pas abordé, mais bien entendu, le testeur fait souvent aussi des retours sur le jeu, sous un angle plus joueur. Toutefois, dans l’ensemble de ce qui constitue son quotidien, il n’en reste pas moins différent du joueur.Pour aller plus loinTesteuse ou testeur de jeux vidéo (Gouvernement du Québec)Devenir testeur et Formation testeur de jeux (Créajeux) [...]Lire la suite…
Retour en haut